Right to Refuse to Kill

Sprache
Englisch

Das Programm der War Resisters' International's, Das Recht, das Töten zu verweigern, kombiniert einen weiten Bereich von Aktivitäten zur Unterstützung einzelner Kriegsdienstverweigerer als auch organisierter Gruppen und Bewegungen für Kriegsdienstverweigerung.

Unsere Hauptveröffentlichungen sind CO-Alerts (Alarmnachrichten, die verschickt warden, wann auch immer ein Kriegsdienstverweigerer verfolgt wird) und CO-Updates (ein zweimonatiger Blick auf Entwicklungen hinsichtlich Kriegsdienstverweigerung auf der ganzen Welt).

Wir pflegen den CO-Leitfaden – Ein Leitfaden zum Internationalen Menschenrechtssystem für Kriegsdienstverweigerer, der COs helfen kann, ihre eigenen Regierungen zu konfrontieren und sich vor Menschenrechtsverletzungen zu schützen.

Informationen darüber, wie Nationalstaaten Kriegsdienstverweigerer behandeln, können unter World Survey of Conscientious Objection and recruitment (Weltübersicht zu Kriegsdienstverweigerung und Rekrutierung) gefunden werden.

Weitere Informationen zu dem Programm findet Ihr hier.

Tamar Alon, Atalya Ben Abba et Tamar Ze'evi risquent un emprisonnement répété pour avoir refusé de servir l’occupation Israélienne. Le 1er décembre , Mesarvot, un réseau de soutien aux objecteurs de conscience et aux résistants politiques, a annoncé une journée d’action pour les soutenir.

Des rassemblements ont eu lieu devant des bâtiments de fabricants d'armes et d'autres endroits pour demander aux gouvernements de stopper la fourniture d'armements à l'occupation Israélienne plutôt que d'en retirer des bénéfices. La journée d'action a attiré l'atention sur le fait que, tandis que des jeunes en Israël refusent de servir l'occupation, nous devons refuser d'en retirer des bénéfices. Parce que, aussi longtemps que l'Europe fera des affaires avec les fabricants d'armes israéliens , l'occupation continuera. Aussi longtemps que les USA continueront de fournir des armements à Israël et d'acheter leurs armements, des jeunes Israéliens continueront à être emprisonnés pour leur refus d'utiliser ces armes contre des civils .

Hannah s’est rendue en Thaïlande dans le cadre de son travail au sein du programme pour le Droit au refus de tuer, pour y soutenir l’objection de conscience et les mouvements contre la conscription.

Quand je suis arrivée à Bangkok en novembre, de nombreuses personnes portaient le deuil du roi Bhumibol Adulyadej, mort le 13 octobre 2016 après 7 décennies passées sur le trône. J’ai voyagé en Thaïlande avec Jungmin Choi et Yongsuk Lee, deux militant.e.s de World Without War (groupe adhérent de l’IRG, en Corée du sud).

Le Rwanda, pays africain enclavé, a connu récemment une période de guerre et de conflit. En 1990, une armée rebelle, composée avant tout de réfugiés tutsis en exil, attaqua l’armée régulière de l’Uganda. La guerre dura quatre ans et le groupe rebelle, le Front patriotique rwandais, prit le contrôle du pays et mit fin au génocide de 1994. Sa branche militaire, l’Armée patriotique rwandaise, intégra certains des militaires de métier vaincus et devint les Forces de défense du Rwanda.

Ce rapport examine les difficultés rencontrées pour quitter les forces armées au Rwanda au cours de la décennie passée. Il repose sur les témoignages d’anciens soldats ayant déserté l’armée (que nous appelons « A, B, C et D ». Maintenir leur anonymat est vital pour leur sécurité). Nous avons appris que :

en général, les soldats recrutés entre 1990 et 2012 n’ont pas signé de contrat de travail ;

la démarche pour quitter l’armée n’est pas bien définie pour quiconque a été recruté pendant cette période (y compris ceux qui appartiennent toujours aux forces armées à ce jour) ;

pour les soldats recrutés pendant cette période qui font toujours partie de l’armée, la possibilité de quitter l’armée dépend entièrement de leurs commandants ;

les conséquences d’une désertion peuvent être graves, mais les difficultés pour trouver des façons légales de quitter l’armée rendent souvent la désertion la seule option possible pour certains ;

le droit à l’objection de conscience au service militaire n’est pas respecté.

1er décembre 2016 : Refuser l'occupation - Journée internationale d'actions

Tamar Alon, Atalya Ben Abba et Tamar Ze'evi risquent la prison car elles refusent de servir l'occupation israélienne. Soutenons-les en rejoignant la Journée internationale d'actions qui se déroulera le 1er décembre 2016.

Des rassemblements se tiendront aux portes de bâtiments d'entreprises d'armement et d'autres lieux pour en appeler aux gouvernements de cesser d'armer l'occupation israélienne et cesser d'en tirer profit.

Tant que le commerce entre l'Europe et l'industrie de l'armement israélienne perdurera, il en sera de même pour l'occupation. Tant que les USA continueront d'armer Israël et d'y acheter de l'armement, de jeunes israéliens et israéliennes continueront d'être emprionné.e.s pour leur refus de diriger ces armes contre des populations civiles.

***
ELLES REFUSENT de gazer les civil.e.s. Les États-Unis refusent-ils d’acheter à Israël des gaz lacrymogènes ?

ELLES REFUSENT de tirer sur des civil.e.s, l’Asie de l'Est refusera-t-elle d’acheter des armes à feu à Israël ?

ELLES REFUSENT de bombarder Gaza, appellerons-nous NOS PAYS à refuser le commerce des drones avec Israël ?

ELLES REFUSENT de servir l’occupation. NOUS refusons d’en tirer du profit.

***

Nous partageons la déclaration d’objection de conscience de Hilal Demir, initialement publiée dans Women and Conscientious Objection - An Anthology

Traduit par Karine Daudicourt

----------------------------------

Je ne veux pas vivre dans un monde qui est sexiste, hiérarchique, autoritaire, militariste et patriarcal.

 

Je ne veux pas bénéficier de leur système éducatif...

 

Je ne veux pas que des gens meurent à la guerre parce qu’ils ont été trompés.

 

Je ne veux pas avoir à prouver que je suis un être et une personne parfaitement intelligente, uniquement parce que je suis une femme.

 

Je ne veux pas fermer les yeux sur la politique de guerre du pays et ses mensonges.

 

Je ne veux pas que des militaires forment des idiots pour mourir à la guerre.

Download pdf

Information submitted by the International Fellowship of Reconcilitation and Conscience and Peace Tax International

MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA RÉCONCILIATION

(IFOR)

Rapport à l’intention de la 115e session du Comité des droits de l’homme

RÉPUBLIQUE DE CORÉE

(Service militaire, objection de conscience et questions connexes)

Mise à jour : Septembre 2015

Contact :

Derek Brett

Mouvement international de la réconciliation

Représentant auprès de l’ONU, Genève

derek.brett@ifor.org

Tel : (41) 77 462 9825

Informations générales – La République de Corée et le Comité des droits de l’homme

Dans les Observations finales faisant suite à l’examen du Troisième rapport périodique de la République de Corée au titre du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), le Comité des droits de l’homme se dit « préoccupé par le fait: a) que, conformément à la loi sur le service militaire de 2003, la peine encourue en cas de refus d’effectuer le service militaire actif est un emprisonnement d’une durée pouvant aller jusqu’à trois ans et qu’il n’existe pas de limite législative au nombre de fois que ces personnes peuvent être appelées et soumises à de nouvelles sanctions; b) que les personnes qui n’ont pas effectué leur service militaire ne peuvent occuper des emplois dans l’administration ou les organismes publics et c) que les objecteurs de conscience condamnés sont stigmatisés du fait de leur casier judiciaire (art. 18) ». Il formule la recommandation suivante : « L’État partie devrait prendre toutes les mesures nécessaires pour reconnaître le droit des objecteurs de conscience d’être exemptés du service militaire. Il est encouragé à aligner sa législation sur l’article 18 du Pacte. Le Comité appelle, à cet égard, son attention sur le paragraphe 11 de son observation générale no 22 (1993) relative à l’article 18 (liberté de pensée, de conscience et de religion). »1

La déclaration suivante a circulé le 25 décembre2015 chez le collectif féministe TO MOV et est signée maintenant par plus de collectifs et d’organisations :

 Au moment où la revendication démocratique est l’abolition du service militaire obligatoire, le Ministre de la Défense, semble, au contraire, souhaiter l’extension de ce service aux femmes.

Le 1er décembre de chaque année, l’Internationale des Résistan(te)s à la Guerre et ses membres célèbrent la Journée pour les Prisonniers pour la paix, occasion lors de laquelle nous publions les noms et les histoires de personnes emprisonnées pour des actions pour la paix. Beaucoup d’entre eux sont des objecteurs de conscience, emprisonnés pour avoir refusé de rejoindre l’armée. D’autres ont mis en œuvre des actions non-violentes afin de perturber la préparation à la guerre. Cette journée est l’occasion pour vous de leur montrer votre soutien.

L’IRG a une liste permanente des Prisonniers pour la Paix, et nous accordons une attention particulière à sa mise à jour à l’occasion de la journée des Prisonniers pour la Paix, le 1er décembre.

Nous vous invitons à consacrer un peu de votre temps aux alentours du 1er décembre pour exprimer votre solidarité par l’envoi de cartes postales. Vous pouvez trouver les noms et adresses des prisonniers ici: /fr/node/4720 Rassemblez vos amis, votre classe, groupe de la paix, religieux ou communautaire et écrivez-leur ensemble !

Pour plus d’information, visitez: /fr/node/3695

Contactez (anglais) Hannah Brock + 44-20-7278 4040 et hannah chez wri-irg.org

Aujourd’hui marque la Journée internationale de l’objection de conscience. Dans le monde, 92% de tous les objecteurs de conscience emprisonnés pour avoir refusé le service militaire obligatoire le sont en Corée du Sud. Une campagne internationale appelle à leur libération et la reconnaissance du droit à l’objection de conscience partout dans le monde.

 

 

 

Internationale des Résistants à la Guerre, Amnesty International, Connection e.V., et Monde Sans Guerre organisent cette pétition au Ministre de la Défense Nationale de la Corée du Sud, le Général Han Mon-Koo, demandant à son gouvernement - de libérer sans délais et sans conditions tous les objecteurs de conscience; - de reconnaitre le droit à l’objection de conscience comme étant un droit de l’homme qui fait partie intégrante du droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; -de prendre les dispositions appropriées pour permettre l’objection de conscience au service militaire; et d ‘effacer les mentions aux casiers judiciaires et octroyer une compensation aux objecteurs de conscience qui ont été emprisonnés pour avoir refusé le service militaire dans le passé.

Signez en ligne ici et téléchargez une version imprimée ici.

Right to Refuse to Kill abonnieren